La précarité tue, le capitalisme tue, le macronisme tue
De France Télécom à Lubrizol, en passant par l'AP-HP, l'éducation nationale, la SNCF, La Poste, Lidl, et finalement Anas, étudiant lyonnais, le capitalisme tue. En direct ou en différé. Le plus souvent en différé, parfait moyen d'effacer les traces. Ce qui fut jadis une obscure directive...