Algérie : c’est une certitude, Abdelaziz Bouteflika n'est plus le centre du pouvoir
Croire l’inverse relèverait de la psychiatrie, car les contraintes d’un tel poste – président d’une nation – exige une forme physique excellente, vu les pressions et la charge de travail. Reste donc à savoir qui tire les ficelles, qui prend les décisions au quotidien ? De plus, l’instabilité du...